S’il y a un institut d’université qui, dès ses premiers pas, s’est retrouvé presque sur tous les fronts énergétiques, c’est sûrement le centre d’Études et de Recherches sur les Énergies Renouvelables (CERER). Depuis vingt-neuf ans – 28 avril 1980 –, les chercheurs et les techniciens n’ont pas fait dans la dentelle : la kyrielle des résultats développés par ses diverses activités ne se comptent plus. N’ayant eu de cesse d’étudier les phénomènes météorologiques, de rechercher et de développer des procédés utilisant toute forme d’énergie, d’étudier et de contrôler la radioactivité de l’air et des précipitations, de centraliser et de diffuser les données, de former les chercheurs, le centre a véritablement contribué à la recherche de solutions aux problèmes de développement liés à l’énergie et à l’environnement. Aujourd’hui, il s’est fait une solide réputation de compétences en conversion photovoltaïque, photothermique et thermodynamique, en énergie éolienne, en économie d’énergie, en valorisation de la biomasse, de même qu’en traitement des eaux usées, en somme des problématiques de recherche-développement.
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